« Aimer, c’est agir. »
Ce sont, paraît-il, les derniers mots de Victor Hugo. Que ce soit cet homme si clairvoyant mais aussi si souvent grandiloquent qui les ait prononcés est finalement indifférent. Le propos est juste, lumineux et j’ai fait mienne ce précepte.
Devenir avocat m’a demandé la détermination dont je fais preuve aujourd’hui pour gérer les dossiers que l’on me confie. J’ai passé le bac avant d’avoir 16 ans, commencé à enseigner le français et le latin en préparant ma maîtrise de lettres à 19 ans. J’étais sans doute ce que l’on appelle une « IP », mais sans jamais en tirer un quelconque parti si ce n’est celui d’acquérir très vite mon indépendance.
De mes années d’enseignement j’ai retiré une grande méthode et une capacité de travail qui m’ont servie quand j’ai préparé et réussi mon CAPA, tout en élevant mes enfants. Ma détermination rime avec rigueur mais aussi avec créativité. Quand je rencontre un problème juridique dont je ne maîtrise pas tous les aspects, je fais des recherches très approfondies à partir de la jurisprudence : c’est une méthode de travail peu orthodoxe, mais qui me permet de comprendre et d’anticiper le raisonnement possible du Juge.
Le travail d’avocat est une confrontation perpétuelle : mes arguments seront confrontés à ceux de mon adversaire, mon intelligence d’une situation à une autre vision de la même situation, avec des arguments opposés aux miens. Je suis donc à l’écoute de toutes les informations que mes clients me donnent, mais aussi de tous les éléments – écrits ou sous-entendus – que je trouve dans le dossier de mon contradicteur.
Après vingt ans d’exercice, je peux dire que j’ai de l’expérience. Celle de la procédure, évidemment, mais aussi celle tirée des nombreuses affaires que j’ai eu à traiter. Cela permet une efficacité certaine, visant à aller à l’essentiel et à devancer les arguments que l’on pourra m’opposer. J’aime plaider, pour convaincre le Juge. J’aime écrire et construire un raisonnement juridique.
Que je plaide ou que j’écrive, je suis la voix de mon client qui n’a pas les moyens de s’exprimer et de se défendre face au système judiciaire.
COMPÉTENCES
DROIT DE LA FAMILLE
Divorce
Séparation
Autorité parentale
Succession
Adoption
DROIT PÉNAL
Défense des personnes mises en cause devant le tribunal de police, le tribunal correctionnel, la cour d’assises
Défense des victimes
Défense des mineurs
Indemnisation au préjudice corporel
DROIT ADMINISTRATIF
Droit des étrangers
Contentieux du permis de conduire
Responsabilité de la personne publique
DROIT DES CONTRATS
Baux d’habitation et commerciaux
Copropriété
Crédit
Cautionnement
Droit de la consommation
DROIT DE LA RESPONSABILITÉ
Responsabilité civile
Responsabilité professionnelle
Responsabilité des constructeurs
QUESTIONS FRÉQUENTES
La prestation compensatoire
Vous divorcez, vous ne travaillez pas ou votre conjoint a un revenu plus élevé que le votre ? Vous appréhendez cet écart de niveau de vie qui risque de se créer entre vous et votre ex-conjoint ?
Connaissez-vous la prestation compensatoire ? Somme versée par l’époux « aisé » financièrement, au profit du conjoint défavorisé par la rupture du mariage afin de compenser la différence de niveau de vie créer par le divorce. Certes, cela concerne un nombre très faible de cas de divorce.
Qu'est-ce que la mise sous curatelle ?
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Curatelle simple
La personne accomplit seule les actes de gestion courante (dits actes d’administration ou actes conservatoires), comme la gestion du compte bancaire ou la souscription d’une assurance. En revanche, elle doit être assistée de son curateur pour des actes plus importants (dits actes de disposition ). Par exemple, le curateur doit consentir à un emprunt. Curatelle renforcée Le curateur perçoit les ressources de la personne et règle ses dépenses sur un compte ouvert au nom de celle-ci.
Curatelle aménagée
Le juge énumère, les actes que la personne peut faire seule ou non.
Qui peut demander une mise sous curatelle ?
L’ouverture d’une mesure de protection juridique des majeurs (sauvegarde de justice, curatelle, tutelle) ne peut être demandée au juge que par les personnes autorisées suivantes : la personne à protéger elle-même, ou la personne avec qui elle vit en couple, un membre de sa famille, des proches entretenant des relations étroites et stables avec elle, la personne qui exerce (déjà) sa mesure de protection juridique, le procureur de la République, qui formule cette demande soit de sa propre initiative, soit à la demande d’un tiers (par exemple : médecin, directeur d’établissement de santé, travailleur social).
Qu'est ce que la mise sous tutelle ?
La tutelle est la plus contraignante des mesures de protection.
Quand un des époux a quitté le domicile conjugal, l’autre peut-il changer les serrures ?
Qu’est-ce que l’abandon de famille ?
Qu’appelle-t’on action publique et action civile ?
- L’action publique vise à sanctionner l’auteur d’une infraction l’infraction ; le plus souvent, elle est mise en œuvre par le procureur de la république, à qui les services de Police ou de Gendarmerie signalent une infraction.
- L’action civile permet à la victime de l’infraction d’obtenir réparation du préjudice subi sous forme de dommages et intérêts.
- La plainte avec constitution de partie civile a pour particularité de permettre à la victime de déclencher l’action publique.
Est-ce que tout le monde a droit à l’aide juridictionnelle
- L’aide Juridictionnelle est une aide financière accordée aux personnes disposant de ressources modestes et qui leur permet de faire valoir leurs droits en justice pour faire un procès ou se défendre, trouver un accord, faire exécuter une décision de justice.
- En fonction des revenus, l’Etat prend en charge, en partie ou en totalité les frais du procès, notamment les honoraires de l’avocat, les frais de l’expertise, la rémunération d’huissier de justice.
- Un avocat n’est pas obligé d’accepter l’aide juridictionnelle.
Que faire pour obtenir une augmentation de la pension alimentaire pour les enfants ?
- Toute contribution (ou pension alimentaire) peut toujours être modifiée, à la hausse et à la baisse.
- Il faut saisir le Juge aux Affaires Familiales en cas de changement dans votre situation, que vous soyez créancier ou débiteur. Le Juge examinera votre nouvelle situation : si vos charges ont diminué du fait que vous partagez la vie d’un nouveau conjoint ou si vos revenus sont en hausse, il pourra augmenter la contribution pour vos enfants, votre conjoint (devoir de secours au cours d’un divorce) ou votre ascendant.
- Si au contraire, votre situation est plus difficile (arrivée d’un enfant dans votre nouveau foyer, difficultés professionnelles …) ou si celle de votre créancier s’est améliorée, il diminuera le montant de la pension et pourra même aller jusqu’à la supprimer.
En cas de séparation des parents, les enfants peuvent-ils choisir celui chez qui ils vont vivre ?
- En cas de séparation, les parents peuvent fixer amiablement les modalités de résidence des enfants. Le Code civil les incite à écouter leurs enfants : « Les parents associent l’enfant aux décisions qui le concernent » Art. 371-1.
- S’il y a désaccord, c’est le Juge aux Affaires Familiales qui tranchera. Les enfants peuvent demander à être entendus (hors la présence des parents) pour faire connaître leur avis, mais ce n’est pas eux qui décideront.
- Le Juge prend en compte leur intérêt mais c’est lui qui fixera les règles.
Qu’est-ce qu’un avocat commis d’office ?
Peut-on reprendre son dossier si on ne s’entend plus avec son Avocat ?
Qu’est-ce que la déontologie ?
Qu’est-ce qu’un héritier réservataire ?
- L’héritier réservataire est une personne qui ne peut pas être privée d’une partie du patrimoine du défunt, qui s’appelle la réserve. On ne peut pas déshériter un héritier réservataire qui bénéficie d’un minimum de droits successoraux.
- Les héritiers réservataires sont les enfants et leurs propres descendants ainsi que les ascendants du défunt (ses parents).
- Le défunt peut léguer à qui il le souhaite une partie de son patrimoine, qui s’appelle la quotité disponible et qui est variable selon le nombre d’héritiers réservataires (articles 912 et 913 du Code Civil ).
Dans quelles conditions les enfants doivent-ils payer une pension alimentaire à leurs parents ?
- Quand les ressources d’un parent ne suffisent pas à payer les frais d’hébergement dans une maison de retraite ou un établissement spécialisé, celui-ci peut saisir le Juge aux Affaires Familiales pour que ses descendants lui versent une pension alimentaire. Cette obligation incombe aux enfants, petits enfants et à leurs conjoints.
- Le Code Civil prévoit cependant que si le parent a manqué gravement à ses propres obligations (par exemple quand les enfants ont été placés), ceux-ci sont déchargés de leur obligation. (article 207).
Les policiers ont-ils le droit de refuser que je porte plainte ?
HONORAIRES
En matière d’honoraires, je tiens à être transparente et j’évoque la question avant toute intervention dans un dossier. Je remets à mes clients une convention d’honoraires détaillée que nous signons et dans laquelle figurent mon taux horaire et le détail de la facturation (audiences, courriers, frais divers…).
Pour certains dossiers, je pratique des honoraires forfaitaires qui couvrent l’ensemble des diligences à accomplir. Un paiement échelonné est toujours possible, mais aucun dossier n’est traité sans une provision préalable.
ACCÈS
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GARES (421m)
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